[Edito d’Hugues Sibille] Les heures sombres

La deuxième vague, et maintenant le confinement, créent, après la parenthèse d’un été « dansons sur un volcan », un climat anxiogène d’incertitudes, de perte de repères. Il n’y a pas que les bourses qui n’aiment pas l’inconnu : la peur du lendemain fait subir au corps social un violent stress, d’abord sanitaire, mais aussi mental et économique.