« Santé publique, justice sociale, citoyenneté, agriculture et filière alimentaire, développement économique territorial, emploi, éducation, environnement, urbanisme, les enjeux d’une transition agroécologique et d’un système alimentaire territorial durable sont nombreux et interconnectés. Les collectivités locales, porteuses de projets de territoires, s’impliquent fortement pour développer de nouvelles façons de produire, échanger et consommer. Elles sont de plus en plus nombreuses à s’engager dans des Projets Alimentaires Territoriaux (PAT). Echanger, capitaliser les bonnes pratiques, coproduire des outils méthodologiques sont indispensables pour mettre les acteurs en réseau, développer des synergies et favoriser des politiques alimentaires durables sur les territoires. »
Les thématiques :
L’alimentation fait système dans un territoire. Ses enjeux sont nombreux et reliés entre eux sans qu’on puisse les hiérarchiser de la même façon selon les territoires (économiques, sociétaux et environnementaux).
- La création de richesses et d’emplois
- La nutrition et la santé publique
- La dimension sociale pour lutter contre la précarité alimentaire
- Les effets environnementaux, la protection de la biodiversité et la réduction de l’empreinte carbone
- D’autres enjeux sont également culturels : culture, tourisme et gastronomie sont indissociables d’une stratégie alimentaire territoriale.
- Enfin les enjeux en matière d’urbanisme et d’aménagement sont encore souvent sous-estimés alors que l’alimentation contribue fortement à dessiner le territoire et qu’elle s’inscrit dans des formes urbaines particulières.
Au programme :
Pour aborder ces thématiques, les premières assises territoriales de la transition agro-écologique et de l’alimentation durable se structureront autour de deux journées, comprenant des moments de plénières et des moment d’ateliers participatifs et créatifs.
Trois formats d’ateliers interactifs seront proposés pour maximiser le partage d’expérience et repartir avec des solutions :
- Place des marchés : 45 minutes pour donner à voir trois bonnes pratiques, par petits groupes
- Fertilisation croisée : 45 minutes pour approfondir une expérience clé
- Ruche : 105 minutes pour co-construire un outil, une démarche répondant à une problématique rencontrée au quotidien
60 places par atelier
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